On est ainsi allé à l'école. 60 loupiots, 3 maîtresses, et nous en special guest dans la classe. Salome y est même allée de son petit discours de présentation d'elle et de ses frère et sœur devant la classe (une maternelle, 5-6 ans). Photos de classe avec tous les enfants , les nôtres, les leurs, avec les mères, avec les maîtresses! Ils étaient à fond!
Marches dans les rizières également au programme. On comprend qu'ils ne mangent que du riz, c'est quasiment de la monoculture (à part quelques parcelles de thé).
Les rizières sont à une dizaine de minutes de marche (le long de la nationale). Donc une fois la cohue et l'oppression de la route passée (Salomé s'est quand même fait rouler sur le pied par une moto), les rizières c'était top! Les nuées d'enfants nous saluaient, venaient nous prendre en photos, ce qui rend plus facile de nous aussi les prendre en photos. Le plus hallucinant ce sont les sourires, pleins, francs, éclatants!
Et c'est fou de voir ces petits villages à flanc de montagne, chemins en terre, mais petites filles voilées dès 6-7 ans, et portable dans la main pour nous prendre en photo, soit en se cachant soit en envoyant le grand frère ! Et toujours cette sensation tactile, tout le monde touche les enfants en permanence, avec des sourires radieux qui égaieraient la journée de n'importe quel déprimé.
Marches dans les rizières également au programme. On comprend qu'ils ne mangent que du riz, c'est quasiment de la monoculture (à part quelques parcelles de thé).
Les rizières sont à une dizaine de minutes de marche (le long de la nationale). Donc une fois la cohue et l'oppression de la route passée (Salomé s'est quand même fait rouler sur le pied par une moto), les rizières c'était top! Les nuées d'enfants nous saluaient, venaient nous prendre en photos, ce qui rend plus facile de nous aussi les prendre en photos. Le plus hallucinant ce sont les sourires, pleins, francs, éclatants!
Et c'est fou de voir ces petits villages à flanc de montagne, chemins en terre, mais petites filles voilées dès 6-7 ans, et portable dans la main pour nous prendre en photo, soit en se cachant soit en envoyant le grand frère ! Et toujours cette sensation tactile, tout le monde touche les enfants en permanence, avec des sourires radieux qui égaieraient la journée de n'importe quel déprimé.