Pour notre dernier point de villégiature, on a longuement hésité entre Ko Phi Phi, île sans voiture réputée pour héberger les plus belles plages du pays (dont la fameuse "Plage" de Leonardo de Capricio) et Ko Lanta, plus calme et plus sauvage.
On choisira la seconde solution, un peu apeurés par la réputation de Ko Phi Phi (bars, gros son et fêtes incessantes toute la nuit toutes les nuits, couplé à des tarifs prohibitifs pour le pays...). Direction donc le Palais de (Denis) Brogniart, plus clément pour nos bourses : Ko Lanta.
En fait, TF1 nous aurait menti (ce serait bien une première...), Ko Lanta n'a pas été tourné ici mais sur une île un peu plus au large répondant au nom de Ko Rok (certes, c'est moins vendeur...).
L'île est assez grande, presque une vingtaine de km de long, et n'est occupée pratiquement que sur la côte ouest. Plus on descend au sud, plus c'est sauvage et perdu, on opte pour un compromis à mi-chemin entre le port au Nord et le phare de la désolation du Sud.
On a trouvé une adresse un peu au hasard dans un guide et on se pointe sans avoir réservé. Et pour notre dernier logement, on termine en apothéose : on a trouvé un super petit boui-boui rempli de charme. Des bungalows en bambou posés dans un grand jardin joliment décoré, avec double terrasse au dessus du bungalow donnant un aspect cabane de singe que les enfants adorent forcément, des salles de bain et toilettes en plein air à l'arrière des bungalows (quel plaisir de prendre sa douche en regardant les étoiles...), et donnant sur une belle plage presque déserte, un grand bar tout ouvert construit avec des planches de bateau, un billard les pieds dans le sable, des petites huttes et cahutes disséminées un peu partout, tout un tas de petites tables devant lesquelles on n'aspire qu'à s'allonger et à rêvasser...
Et bien figurez-vous que ce sera notre programme : on ne quittera pas l'hôtel de nos trois jours tellement on s'y sent bien. Pas mal de lecture, rattrapage du retard du blog, un peu de sport, de baignades, et un peu de temps pour se remémorer ce superbe voyage qui s'achève et se retourner sur ces 6 derniers mois...
6 mois, c'est court et c'est long à la fois, on en aura vraiment bien profité et on repart avec des souvenirs plein la tête, on aura vécu ce moment intense familial que l'on souhaitait, on a bien rechargé les batteries... Néanmoins, un peu de tristesse que tout soit fini...
Etonnamment, les chaussures ne paraissent pas trop usées … le « bonhomme » un peu plus
RépondreSupprimerTempête annoncée sur la Bretagne avec des vents de 140 KM…
Bon retour
J'ai été ravie de lire votre périple en tout cas. Ca doit être magique de vivre tout ça en famille. Bon retour je ne sais pas où et bonnes fêtes de fin d'année.
RépondreSupprimerJuliette