I can't believe the view today
I can't close my eyes and make it go away
How long, how long must we sing this song
How long, how loooong...
Cos' today, we 're on the water
Today, we 're on the beach
Today, today,
Sunday in Whitsundays
Sunday in Whitsundays
Sand as white and thick as flour
Sea as blue and clear as in your dreams
Just tell who did that
Just tell who did that
Cet intermède musical passé, vous aurez compris, les Whitsundays, on a trippé.
Les Whitsundays sont les sommets des montagnes précédemment collées au continent jusqu'à ce que la montée des eaux à l'ère glaciaire (déjà le réchauffement climatique...) les transforment en îles.
Pléthore de possibilités pour aller les visiter, de la croisière de luxe sur plusieurs jours sur le vieux gréement au gros zodiac où on danse la chenille et la queue leu leu locale. Les prix allant du cher au hors de prix. Forcément, on a choisi entre les deux...
On a craint pour le temps, quelques averses étaient annoncées (ça n'aurait pas été de bol, on n'a pas vu une goutte de pluie depuis notre départ...). La balade en bateau est sublime, on serpente entre les îles, et les avancées rocheuses donnent un vrai côté fjord norvégien.
Escale obligatoire à ce qui est annoncé comme la plus belle plage d'Australie voire du monde : Whitehaven Beach. On y va un peu sceptiques quand même tant sur la validité d'un tel classement... Tous les votants venaient du coin, non ?
Escalade de la colline en bout de plage, et là, tout change, même notre avis : la vision de la plage avec la mer retirée est ahurissante, les bancs de sable, les courants marins, la forêt environnante, l'harmonie formes - couleurs atteint la perfection. Beach au carré, ou en français, putain de plage !
Après cette perfection de la nature, on attaque le snorkeling sur cette partie Sud de la Barrière de Corail. On sera plus déçus que lors de notre précédente expérience à Cape Tribulation, où nous avions choisi une sortie axée uniquement sur la plongée. Ici, c'est une partie de la journée, et les enfants sont fatigués. L'eau est froide (ok, c'est relatif...) et Capu a le malheur d'apercevoir un énorme poisson juste en se mettant à l'eau du bateau. Ça l'a bloqué ! Il faut dire qu'on ne voyait pas le fond et que ces poissons étaient vraiment énormes !
Ce snorkeling ne reste pas désagréable mais n'égale le précédent ni en couleur, ni en taille, ni en nombre.
Ce snorkeling ne reste pas désagréable mais n'égale le précédent ni en couleur, ni en taille, ni en nombre.
On a vu pire, c'est vrai !
RépondreSupprimerMais où votre escalade des merveilles s'arrêtera-elle ?
Et les filles qui nous dégotent encore une grenouille maous, après Hugo (dans un précédent blog), chasseur de serpents d'honneur (brrrrr).....continuez cela nous coupe de la grisaille parisienne (j'ai pas dit bretonne, vous remarquerez, j'peux pas il fait toujours beau là-bas!)
On vous suit avec toujours beaucoup de plaisir
Bises
Il n'y a pas l'air d'y avoir de pluie à l'horizon! (comme en Bretagne, ainsi que l'a rappelé Papy à juste titre).
RépondreSupprimerNice song by the way, Bono would be proud!
Moi personnellement je donne raison à Capu : les gros poissons dans l'eau, ça fait peur!!!!
A plus!
Frumos
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